18 juillet 2010

7月16日 le vendredi 16 juillet 2010 銅マーケット他 marché du cuivre, etc

Le 16 juillet 2010, vendredi
快晴、

ネット不調。Download側が作動しない。だからどのsiteも表示されない。昨日は5分とまともに動かなかった。Googleニュースを見て、liveメイルをチェックしたらお仕舞。メイルの返事も書けなかった。

9時半、停電。ネットがなんとか動きそうになってoutlookの設定をしているときに。しかし、電気は数分で回復。

ゴッフルを作った。ところが青いゴッフルができてしまった。というのは、香りとしてバニラ・エッセンスを入れたかったが、店にバニラがおいてなかった。仕方ないのでブランディの香りというのを買った積もりだった。ところが、となりに置いてあった同じ形のビンを買ってしまったのだ。それは食用カラーだった。食用だから毒にはなるまい、そう期待する。しかし、参ったなぁ。しばらく青いゴッフルが朝食だ。

水の出がいい。勢いよく出る水で食器洗い。それだけで気分がいい。

粗銅の価格が持ち直しているようだ。2008年9月に$8000/Tが翌月には$2700というから、商品市場が暴落したということだ。相場商品だから上下があるのは不思議はない。今年に入って$6800まで戻したそうである。
以下の記事参照。
LMEとはロンドン・メタル取引所。NYなど他の取引所よりも指標として重要視されているようだ。

LMEは非鉄金属であるアルミ、銅、ニッケル、亜鉛、鉛、錫の取引を中心とするが、2008年から鉄、プラスチックも取引されている。商品市場は株式市場以上にスペキュラティヴなようだ。1996年住友商事が多額の損失を蒙っている(3000億円以上)。
カタンガ州はコンゴ(RDC)の銅鉱山の中心。となりのザンビアのその名もカッパー・ベルト州と同じ鉱脈が走っている。銅価格が上がれば経済も持ち直す。今年価格上昇傾向を背景に多少経済が上向き期待ということだが、価格暴落は僅か2年前のこと。流石に慎重に成行きをみているところと思われる。市況商品に経済があまりにも左右されすぎるのは問題が多い。しかし、カタンガ州の北部で最近レア・メタルであるコルタンcoltan、錫石cassitériteが発見されている。カタンガ州に追い風が吹き始めたようである。 (写真はカシテライト=錫石)
RDC: deux ans après la crise, le cuivre peut encore faire rêver le Katanga

Touchée de plein fouet par la crise financière mondiale, la riche province minière du Katanga, dans le sud-est de la République démocratique du Congo, peut rêver d'une relance de son économie grâce à l'embellie des cours du cuivre, son principal minerais.
ECONOMIE - MONDE mer 14 juil, 17:45
Touchée de plein fouet par la crise financière mondiale, la riche province minière du Katanga, dans le sud-est de la République démocratique du Congo, peut rêver d'une relance de son économie grâce à l'embellie des cours du cuivre, son principal minerais.
De 8.000 dollars américains (USD) la tonne en septembre 2008 à 2.700 USA le mois suivant, le cuivre aura connu avec la crise une chute vertigineuse de ses cours, fortement ressentie par la centaine d'exportateurs de ce minerais, implantés dans le sud-est minier de la RDC.
"Le choc était très dur. Les tout petits avaient très vite fermé", se souvient Roger Tambwe, économiste congolais spécialisé dans les mines à Lubumbashi, la capitale du Katanga.
Mais moins de deux ans après l'effondrement des cours, "les entreprises qui sont restées ont atteint leur point d'équilibre" grâce à un prix d'achat oscillant aujourd'hui autour de 6.800 USD la tonne, note M. Tambwe.
Signe de cette reprise, la production annuelle de cuivre au Katanga est passée de 961.654 tonnes en 2008 à 887.156 en 2009, avant de se redresser fortement à 593.058 tonnes uniquement pour les six premiers mois de 2010, selon des chiffres officiels.
Une hausse à mettre à l'actif de nouveaux investissements réalisés par des exportateurs de minerais, comme l'entreprise indo-congolais Chemical of Africa (Chemaf), qui transforme désormais sa production sur place avant de la vendre à 8.000 dollars USD la tonne à un groupe émirati.
Près de 35 millions de dollars de redevance, aussi bien pour le cuivre que pour les autres métaux, ont ainsi été perçus par l'Etat congolais au premier semestre 2010, contre 45 millions pour toute l'année 2008 et 32 millions usd en 2009.
Une manne qui attire des groupes financiers étrangers, notamment indiens et sud-africains, dont la présence est renforcée par l'ouverture de nouvelles agences bancaires dans la ville de Lubumbashi, autrefois la chasse-gardée des banques locales.
Cependant, le souvenir de la crise et ses effets dans la province du Katanga, une région aussi vaste que la France, sont encore vivaces dans les esprits.
"La prudence est de mise au niveau des employés qui avaient été mis en congés technique. Pour le moment, les entreprises préfèrent garder les mêmes effectifs", observe un responsable de la Fédération des entreprises du Congo (Fec) au Katanga, Bakomeka Kelina.
Au total, 45 entreprises, dont des chinoises, sur 83 recensées officiellement, avaient cessé leurs activités, d'après des chiffres du ministère provincial des Mines. Plus de 3.000 salariés avaient brutalement été mis au "chômage technique".
Aussi, la renégociation des contrats miniers initiée par l'Etat congolais avec certaines entreprises étrangères, freine quelque peu l'ardeur de nouveaux venus dans ce secteur.
"Ces contrats avaient été discutés à une période où la RDC connaissait des conflits armés (1998-2002). L'Etat était en position de faiblesse et il a jugé utile de les réviser", analyse M. Tambwe.
"Cela a été mal perçu par certains grands groupes", notamment le Canadien First Quantum Minerals, dont l'un des contrats a été résilié en septembre 2009 par Kinshasa et qui a porté l'affaire devant la justice internationale, a-t-il ajouté.
Toutefois, estime M. Tambwe, le cours du cuivre peut se maintenir à son niveau actuel "jusqu'à la fin de l'année", même si, selon lui, les autorités congolaises devront diversifier leurs recettes avec l'exportation du cobalt, de la cassitérite et du coltan, découverts récemment dans le nord de la province.

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