23 juin 2012

6月22日 モブツ元帥大橋のメンテナンス maintenance du pont Maréch


Le vendredi 22 juin 2012
快晴。7時、18℃、55%。

今日、今月のネット契約が切れる。Vodacomで次の30日分の支払いをする。60ドル。

わが「日本カタンガ協会」の会長キュングの見舞いに行った。先週から前立腺の病気で入院していると数日前に電話があった。ルブンバシ大学の近くの病院に行ってみると、病人とは思えないほど元気だった。僕と同じ前立腺肥大だとしたら進行がはやいなぁと思ったら、初め医者は前立腺だろうといっていたけれど、そうではなく膀胱vessieの疾患が原因で尿が出ないということが分かったのだそうだ。来週の金曜まで入院。キュングが今働いているのは州政府。入院費用は全て州政府が払ってくれる。VIPルームに入っていた。州政府は待遇がいい。

マタディ(バ・コンゴ州の州都)に1983年完成した巨大なつり橋は日本からの借款で建設された。この円クレジットは結局返済されないまま、去年日本政府は完全に棒引きした。つり橋建設に国鉄(当時)も全面的に協力した。築30年になる。このほどジャイカJicaを中心にメンテナンスの見積もりをした。600万ドル。この費用はこれから手当てしなければならないが資金提供先が決まったいない。いずれ日本が依頼されるのであろう。
しかし、この橋の必要性、効果については誰も語らない。
コンゴ河にかかる唯一の大橋は
日本の借款で実現した(1983年)
Matadi : les travaux de maintenance du pont Maréchal coûteront plus de 6 millions USD
le 21 juin 2012
Radio Okapi
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Les experts de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica) et les ingénieurs de l’Organisation pour l’équipement de Banana-Kinshasa (OEBK), service public qui gère le pont Maréchal Mobutu à Matadi (Bas-Congo), ont estimé à plus de 6 millions de dollars américains les travaux de maintenance sur ce pont. Si la provenance des fonds n’est pas encore déterminée, ces travaux seront effectués par la Jica, au terme d’un accord signé mercredi 20 juin entre les deux parties. C’est à l’issue d’une exposition de l’OEBK présentant différents types de ponts que ce protocole d’accord a été signé.
Il est le fruit d’une étude menée depuis prés d’un mois par des experts sur l’état actuel du pont Maréchal.
Depuis 1983, à la fin de sa construction, ce gigantesque ouvrage de 722 mètres a connu des problèmes d’entretien. Les premières inspections sur son état n’ont été effectuées qu’à partir de 2004.
Pour le directeur générale adjoint de l’OEBK, André Madiata, des travaux de maintenance sont aujourd’hui indispensables.
«Les résultats ont montré effectivement qu’il y avait des rouilles de corrosion au niveau des câbles du pont», a-t-il affirmé.
Même si, selon les dires des experts japonais, ces corrosions ne sont pas alarmantes, le DGA de l’OEBK, prévient que « dans trois ans, si rien n’est fait, les risques seront réels».
A cette étape, la grande question est celle de l’origine du financement de ces travaux de maintenance, a-t-il conclu.

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