快晴。7時、21℃、32.5%。17時45分、25℃、30%。
朝から断水。昨夜から水が出ていない。17時半、やっと回復。
ザンビアでRDCコンゴ入国ビザ申請をしていたOHさん、水曜日にビザがおりたようだ。結局、RDCの入管書類等を提出せず。余計な費用がかからなくてよかった。明日日曜日にルサカを出発するそうだ。陸路カスンバレサに着いたら、キュング会長の息子さんに迎えにいってもらい、当日はキュング邸に宿泊のよてい。僕のところも既に泊まれるが、それはあとで決めてもらおう。
Tさんが日本に帰国。ルブンバシに来ていただき本当にありがとうございました。日進月歩のルブンバシで驚いたことでしょう。こんどいらっしゃる時は、もっともっと住みやすいルブンバシになっていることでしょう。
9月6日に成長率についてレポートした。そのときはインフレ率がでていなかった。IMFによると今年初めが27%、8月になってやや落ち着いて22,9%と報告されている。原油や食料品の世界的値上げが反映してのインフレ率ということになっている。しかい、この数字は高い。成長率が6.5%以上でもインフレが20%を越しては帳消しである。それにしては為替が安定してる。ドルが弱くなっているにしても1ドル910フラン前後というのはおかしい。消費を殆ど輸入に頼っているいるのだから、フランがインフレ分下がってもいいのではないかと思う。
(画像はスキャンダルに巻き込まれたDSKに変わって、新任のラガルドIMF総裁。彼女もフランス。IMF総裁も日本からでていいのではないか。世銀がアメリカ、IMFが欧州という割り振りはもはや時代遅れ)。
Le FMI, l’inflation et les dépenses budgétaires
5 SEPTEMBRE 2011
Etant un des principaux créanciers de la République Démocratique du Congo (RDC), le Fonds Monétaire International (FMI) suit avec beaucoup d’attention l’économie du plus vaste pays d’Afrique Centrale. Ainsi, samedi dernier, l’institution de Bretton Woods a demandé, par la voix d’un communiqué, au gouvernement congolais de continuer à lutter contre l’inflation et de maîtriser ses dépenses en vue des prochains scrutins présidentiel et législatif.
En effet, après qu’une de ses missions ait effectué une dizaine de jours à Kinshasa, le FMI a conclu que l’inflation, bien qu’ayant sensiblement diminué (de 27 % en début 2011 à 22,9 % actuellement), se maintiendra, pour l’année en cours, « bien au dessus de l’objectif à un seul chiffre fixé par la Banque Centrale » du Congo (BCC en sigle). Cela s’explique, notamment, par « l’envolée des prix mondiaux des produits énergétiques et alimentaires ». C’est pourquoi, le FMI prône la vigilance « face au risque d’une accélération de l’inflation qui pourrait déstabiliser l’économie ». Constatant « les résultats macroéconomiques solides », laissant ainsi entrevoir la possibilité d’une croissance 2011 supérieure aux « 6,5 % initialement projetés », pour le FMI, les dirigeants congolais doivent « maintenir les grandes lignes » de leur politique ; ce, afin de maîtriser les tensions inflationnistes et préserver la position budgétaire, notamment dans la perspective des élections ».
Fixées au 28 Novembre prochain, elles cristallisent toute l’attention de la communauté internationale actuellement. Et, en particulier, celle du FMI, lequel estime que « les pressions en faveur des dépenses s’intensifient du fait des élections nationales et constituent le risque principal ».
Le FMI, l’inflation et les dépenses budgétaires
5 SEPTEMBRE 2011
Etant un des principaux créanciers de la République Démocratique du Congo (RDC), le Fonds Monétaire International (FMI) suit avec beaucoup d’attention l’économie du plus vaste pays d’Afrique Centrale. Ainsi, samedi dernier, l’institution de Bretton Woods a demandé, par la voix d’un communiqué, au gouvernement congolais de continuer à lutter contre l’inflation et de maîtriser ses dépenses en vue des prochains scrutins présidentiel et législatif.
En effet, après qu’une de ses missions ait effectué une dizaine de jours à Kinshasa, le FMI a conclu que l’inflation, bien qu’ayant sensiblement diminué (de 27 % en début 2011 à 22,9 % actuellement), se maintiendra, pour l’année en cours, « bien au dessus de l’objectif à un seul chiffre fixé par la Banque Centrale » du Congo (BCC en sigle). Cela s’explique, notamment, par « l’envolée des prix mondiaux des produits énergétiques et alimentaires ». C’est pourquoi, le FMI prône la vigilance « face au risque d’une accélération de l’inflation qui pourrait déstabiliser l’économie ». Constatant « les résultats macroéconomiques solides », laissant ainsi entrevoir la possibilité d’une croissance 2011 supérieure aux « 6,5 % initialement projetés », pour le FMI, les dirigeants congolais doivent « maintenir les grandes lignes » de leur politique ; ce, afin de maîtriser les tensions inflationnistes et préserver la position budgétaire, notamment dans la perspective des élections ».
Fixées au 28 Novembre prochain, elles cristallisent toute l’attention de la communauté internationale actuellement. Et, en particulier, celle du FMI, lequel estime que « les pressions en faveur des dépenses s’intensifient du fait des élections nationales et constituent le risque principal ».
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