Le lundi 13 août 2012
快晴。7時、22℃、50%。
ある友人ごとfacebbok、メイルを通じて連絡が取れだした。35年ぶりの会話が始まった。インタネット時代ならではの出来事である。ブログとfacebook。
僕の大好きなジャカランダの花がルブンバシでは咲き始めている。僕の家のジャカランダは毎年9月に咲く。でも、金曜午後からの温度上昇で、一部の花が咲き始めている。
サテライトTVサーヴィス、DSTVが放送を切った。15日まで契約が残っているとおもうのだが、途中に31日の月があると短くなるのか、もう契約切れだと画面に出てくる。クレームするだけ面倒だ。明日ルブンバシでDSTV契約更新するかCanal+に乗換えよう。
Canal+のサテライトは22°Wである。DSTVはW7衛星を使うから36°E。ルブンバシは27°29だから、アンテナの向きが全然違う。緯度はルブンバシが11°40で。赤道上の静止衛星を捉えるには余り大きな角度をつかない。ここの電気屋さんはこの数学が分からない。太陽の位置と勘で仕事をする。磁石ぐらい持ってきたらよさそうなのに。前回は僕が大体の角度を教えた。
RDCコンゴ東部北キヴ州の州都ゴマ市に武装反乱集団M23が迫ろうとしているとの報道があふれる中、日本のバックパッカーがブカブ市(南キヴ)から船で渡った。街中を暢気に散策している。ゴマの市民がM23の脅威に怯えている様子は全くない。郊外に国内外難民キャンプがあるのだろうが、街中は平和である。キヴ湖湖畔も。これは何を意味するのか。
すなわち、RDCコンゴ東部の戦闘がいかに局地的な事件であるかということなのだ。たしかに国内難民問題があるにしても、戦死者数は、毎日報道されているシリア内戦の戦死者よりも遥かに少なく、また戦闘自体小規模なのである。だからといって放っておけばいいということではない。ただ、対処の仕方はしかし自ずと決まってくると思うのである。
ゴールしたウガンダのキプロティチ選手 |
オリンピックは嫌いだが、最終日(昨日)はマラソンがあった。実況中継は見ていないが、ウガンダの選手が優勝した。Stephen Kiprotichはステファン・キプロティチと読むのだろう。ケニアでも多い名前らしい。国籍はどうでもいいが、マサイ人だときいて興味を持った。マサイ人に国境はない。ケニア、タンザニア、ザンビア、ウガンダ等を徘徊してる人々である。定職を得て都市に定住したマサイ人も多い。しかし、定住を拒否したマサイ人もいる。
ステファンは普通の人になった家族から生まれたのだろう。23歳の青年である。
エチオピアやケニアは高地で優れたマラソン選手を輩出した。空気中の酸素の量が少ない中で長距離を走るから強いのだといわれた。とすれば、ウガンダも高地である。ウガンダには富士山よりも2000メートル近くも高い山がある。ルウェンゾーリ連峰のスタンレイ山5100mだ。この連峰はRDCコンゴとの国境にもなっている。コンゴ側にも高峰がある。しかし、コンゴからマラソン選手はまだでていないなぁ。高地だからという理由だけなら、カタンガ州のここだって、海抜1000m以上あるんだけど。マラソン選手なんて見たこともない。養成すればいいのだろうか。
これがRDCコンゴとウガンダの 国境の山々。 |
JO/Marathon:
l'Ougandais Kiprotich grille le Kenya et l'Ethiopie
Slate Afrique avec
l'AFP
Alors que l'on
attendait un nouveau duel entre Kényans et Ethiopiens, l'Ougandais Stephen
Kiprotich a grillé la politesse aux meilleurs coureurs des haut-plateaux pour
offrir à son pays la 2e médaille d'or olympique de son histoire et clôturer
l'athlétisme par une nouvelle page d'histoire.
John Akii-Bua n'est
plus seul: le champion olympique du 400 m haies en 1972, héros national au
destin tragique décédé en 1997, a désormais un successeur avec Kiprotich.
Lancé à pleine vitesse
vers son heure de gloire, l'Ougandais a pris le temps de s'emparer du drapeau
national et de s'en draper avant de franchir le ruban final (2 h 08 min 01
sec).
ライオン狩りに出発する マサイ人の少年(イニシエイション) |
Dernier acte des
épreuves d'athlétisme aux Jeux de Londres, le marathon, épreuve mythique au
sein du mythe olympique, a constitué un dernier tour d'honneur dans les rues
bondées de la capitale londonienne.
Sous un soleil vif,
les concurrents se sont élancés en fin de matinée portés par une ferveur
populaire incroyable, tout au long du parcours qui faisait la part belle aux plus
beaux monuments de la ville, avec l'arrivée non loin de Buckhingham Palace.
Kiprotich, qui
s'entraîne au Kenya avec Eliud Kipchoge, champion du monde 2003 du 5000 m, a su
renverser une situation fortement compromise à 7 km de l'arrivée.
Usé par le jeu
d'équipe des Kényans Abel Kirui, 2e (2 h 08:27.) et Wilson Kipsang Kiprotich,
3e (2 h 09:37.), l'Ougandais perdait quelques longueurs sur le duo peu après le
35e km.
Accélération
Mais il revenait du
diable vauvert pour placer une incroyable accélération 1,5 km plus loin. Dans
un virage, il passait devant ses deux adversaires pour littéralement les
déposer sur le bitume.
Kirui, double champion
du monde (2009, 2011), tentait bien de revenir, mais Kiprotich maintenait son
avance, embrassant de temps à autres un bracelet à son poignet gauche pour se
donner du courage.
Deuxième et troisième,
le Kenya peut s'interroger sur sa tactique de course et sa sélection. Les
dirigeants de Nairobi n'ont peut-être pas fait un choix judicieux en laissant à
la maison Patrick Makau, détenteur du record du monde (2h 03:38. en 2011).
Pour sa part,
l'Ethiopie présentait surtout Ayele Abshero, vainqueur en janvier à Dubai avec
la meilleure performance mondiale (MPM, 2h 04:23.). Abshero a effectivement
accompagné Kiprotich et Kirui, en chasse derrière Kipsang qui, en tant que
vainqueur du dernier marathon de Londres, avait décidé d'ouvrir la route.
Mais Abshero a craqué,
lui aussi, peu après le 25e km pour laisser les deux Kényans et l'Ougandais
constituer le trio gagnant.
"Le rythme était
vraiment rapide et je savais que je ne pourrais pas m'échapper des deux Kenyans
facilement. J'ai donc décidé de les accompagner. Et puis j'ai dû accélérer et
creuser un écart, parce que je voulais gagner cette médaille", a expliqué
Kiprotich le plus simplement du monde.
"Je suis très
heureux de gagner une médaille pour mon pays. J'aime mes compatriotes, et tout
le monde doit être content parce que nous n'avions pas gagné de médaille en
marathon auparavant", a-t-il conclu.
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